Même si ce que vous allez lire vous semble extrême et dégradant, sachez qu’entre nous c’est le grand Amour depuis dix ans et que nous ne concevons pas de vivre l’un sans l’autre. A 38 ans, Andréa est très coquine, très joueuse, sa sexualité débridée lui permet de vivre des plans de folie. Nous en parlons librement, il n’y a aucune jalousie entre nous.

Lorsque nous avons commencé le libertinage il y a dix ans, nous n’hésitions pas à nous dire les choses crûment du type, « cette nana me plait, je me la ferai bien » et inversement sans que nos sentiments réciproques en soient affectés. Au fil du temps, je suis devenu un peu « son Maître » des jeux lors de nos sorties en club. Je lui ai monté plus d’un gang bang, en lui disant des mots crus, en lui tenant les mains pendant qu’elle se faisait sauter. J’aimais et aime toujours la voir heureuse, la voir jouir comme une folle et il en était de même pour moi quand j’avais un bon plan.

Un jour, l’idée nous est venue de jouer un plan comme si j’étais un soumis cocu. C’est elle qui a pris la main ce soir là, en me disant des trucs de folie que je n’aurai jamais pensé qu’elle pouvait dire. « Regarde comme il me baise bien, prend des cours, ..... » et moi, j’ai répondu « oui Maîtresse ». J’étais excité comme un fou et, quand le mec eut joui, j’ai lapé son chaton avant de la prendre comme un fou. Elle était propre, nous mettons toujours des préservatifs, mon plaisir avait été de suivre ses instructions, « lèche moi bien là où il a mis sa queue ».

Le constat que nous avons fait tous les deux, est que j’avais bien aimé ce rôle, je n’avais jamais bandé aussi dur depuis des années. Ce soir là, je l’avais « démontée » comme un Apollon après qu’elle m’ait soi-disant humilié. Le mois suivant, Andréa a tenu à ce que nous recommencions ce plan, elle s’était follement amusée et avait gardé en mémoire la forme olympique qui avait été la mienne après ce jeu. La variable qu’elle avait décidé d’apporter à notre jeu du soir est que je devais sucer le mec avant. Je n’étais pas attiré par les hommes, sans pour autant être fermé à un contact physique quand nous faisions des plans en pluralité. Elle a insisté en me disant « ce qui est bon pour moi est bon pour toi, tu ne vas pas pleurer parce que tu suces un peu un mec ». J’ai fini par céder, elle a trouvé un homme qui acceptait que je lui fasse une fellation avant de la sauter. Il faut dire que quand Andréa a décidé quelque chose, elle se donne les moyens d’arriver à ses fins.

La chose c’est faite. J’ai donc fait ma première fellation la tête tenue par ma femme, comme si elle m’obligeait à la faire. Elle me disait que j’étais une « bonne salope » et jouait le même rôle que moi quand je « l’obligeais » à se faire prendre comme une bonne chienne. A la suite de quoi, elle s’est envoyée en l’air avec le mec, nous avons refait la même chose que le mois d’avant, j’ai léché son chaton et je l’ai sautée comme un malade.

Nous sortions en moyenne une fois par mois en club, la fois suivante, j’ai repris la main comme Maître de chienne. Cela m’a amusé de la livrer, de lui faire faire des trucs mais après, je n’étais pas autant en forme. Nous avons fait l’amour comme après chaque rencontre mais l’Apollon était absent.... Comme nous sommes ultras libres dans nos discussions, lorsque nous en avons parlé j’ai été obligé de constater qu’elle avait raison, que le jeu du « soumis cocu » me faisait des choses.

Un soir, il lui a pris l’envie de me goder avec un de ses sextoys vibrants. Je n’étais pas très ouvert à cette idée, même si parfois » j’apprécie qu’elle me mette un doigt derrière pendant qu’elle me dévore la queue. Andréa a longuement insisté en me disant que si c’est bon derrière pour les femmes, c’est la même chose pour les hommes. J’ai fini par céder à ses envies, cette garce m’a défloré en douceur avec son petit vibro. Je n’ai absolument pas eu mal, sa bouche de gloutonne, qui me connaît très bien, a su à merveille me transporter au paradis.

• Cela m’amuse d’être ta Maîtresse et toi tu bandes comme un taureau à chaque fois ! M’a dit Andréa ce soir là avant d’enjamber mon visage pour se faire bouffer le chaton.

Elle m’a un peu écrasé le nez en s’acharnant sur mes tétons quand elle a pris son pied. Sa fougue et ce jeu m’ayant excité, je l’ai ensuite sodomisée en levrette en la traitant de chienne et autres mots non conventionnels. Encore une fois, nous avons constaté que quand elle me dominait, j’étais en grande forme. Cela est donc devenu un de nos nouveaux jeux.

Pour ma Maîtresse et ma « soumission », nous avons donc acheté des accessoires sur ABCplaisir, une boutique que nous avons découverte via le site de rencontres Fessestivites.com Nous avons acheté un gode ceinture, c’est Andréa qui tenait à en avoir un, puis des menottes et une cage de chasteté pour quand nous allions en club. Lorsque nous avons été livrés, elle a tenu à tout essayer ! Quand je vous disais qu’elle est délurée, je ne plaisantais pas. Je me suis donc fait dévorer à en exploser la cage ! André m’a rendu fou. Elle était déchaînée, et pour essayer le gode ceinture, elle m’a fait enfiler une de ses chemises de nuit pour que je suis une « belle salope ». Cela m’a fait tout drôle de me faire prendre par ma femme. Ce n’était pas désagréable mais c’était perturbant. Ce soir là, une fois libéré je l’ai à nouveau « démontée ».

C’est à cause d’un pari que je me suis retrouvé sous cage de chasteté 24 heures non stop du vendredi soir au samedi soir. Après réflexion, il est possible qu’elle ait prémédité son coup, car nous n’avons pas l’habitude de faire des paris. Cette garce s’en est donnée à coeur joie, elle a tout fait pour me rendre dingue. Andréa a commencé par me faire l’amour avec sa bouche et ses doigts, j’ai cru imploser. Elle m’a à nouveau pris avec le gode ceinture avant de se faire brouter le minou que je devais « fourrer » avec un sextoys ne pouvant disposer de ma verge. Je vous laisse imaginer les mots qu’elle s’amusait à utiliser.

Le samedi soir, nous avons reçu un couple libertin, Andréa s’est follement amusée avec eux en m’obligeant à les sucer tous les deux si je voulais être libéré. J’ai abdiqué et, une heure plus tard, j’ai démonté la femme, pourtant pas très sexy, avant d’achever la mienne sous leurs yeux. Le mec n’arrivait pas à bander, à part se faire sucer, il n’arrivait à rien.

Lorsqu’ils sont partis, nous avons eu une discussion animée, Andréa était énervée.

• Satisfait ? Tu as eu ce que tu voulais ?

• Oui, merci. Il me semble que toi aussi tu as bien aimé même si le mec ne bandait pas ?

• Oui, un peu mais je suis énervée, pourquoi donc ne m’as-tu pas parlé de tes envies sexuelles, de tes fantasmes sexuels ? Tu n’as donc pas confiance en moi ?

• Mes envies, mes fantasmes ?

• Ben oui quoi, tu aimes être soumis, l’humiliation, ces jeux là t’excite. La preuve, tu as réussi à sauter la grosse dinde et à la démonter alors que ce n’est pas du tout ton style de fille. En tant normal tu n’aurais même pas bandé !

• Ben, c’est un peu nouveau pour moi tout simplement !

• Tu sais que je t’aime, que tu peux tout me dire puisque moi je te dis tout.

• Mais je te dis toujours tout ! Tu me fais quoi là ?

• Je trouve que pour un mec qui découvre la soumission, tu es particulièrement excité et en forme. Cela ne donne d’ailleurs pas l’impression que cela te gêne. Ne me dis pas que tu n’avais pas des fantasmes comme ça !

• Me faire v i o l e r par deux trois nanas me plairait bien.

• Et par un mec ?

• Heu, cela ne me branche pas.

• Pourquoi ?

• Je ne suis pas gay !

• Ca je sais merci. Mais, comment dire ? Quand je t’ai baisé et que tu avais ta cage de chasteté, tu couinais comme une femme. Ne me dis pas que tu n’as pas imaginé l’idée de te faire enculer par un mec quand je t’ai filé ma chemise de nuit.

• On passe à un autre sujet si tu veux bien, car là je ne sens pas trop la discussion. Nous y reviendrons un autre jour.

• C’est ça fuit !

• Tu m’ennuies.

...........................

Vous connaissez les femmes, vous savez que quand elles ont une idée en tête, elles ne l’oublient pas. Andréa c’est pire.

Quelques jours plus tard, elle a tenu à ce que l’on joue à nouveau. Elle s’est pointée avec la cage de chasteté qu’elle m’a aidé à mettre, avant de me sauter dessus en me disant que cela allait être ma fête. Andréa avait encore prémédité un plan pervers. Après m’avoir fait enfiler une chemise de nuit en satin, elle m’a chauffé comme une malade. A la suite de quoi, elle a mis son gode ceinture puis s’en est amusé comme si elle était un mec avant de s’allonger sur moi pour m’embrasser à pleine bouche. Elle se frottait à moi en me traitant de « petite salope », elle me disait qu’elle bandait dur et avait envie de moi. Mes oreilles, mon cou, mes épaules ont été mangés pendant qu’elle caressait mon corps, dans ma cage de chasteté, c’était dur dur. Après m’avoir fait m’allonger sur le ventre en soulevant mes fesses avec un oreiller, elle s’est occupée en douceur de mon anus tout en jouant avec mes testicules.

Le gode pas très gros est entré en moi sans trop de difficulté, Andréa s’est allongée sur moi et m’a fait l’amour en douceur. Pendant qu’elle agitait ses reins et limait mon anus, elle mangeait ma nuque de baisers tout en caressant mon corps. Et là, quand j’ai commencé à apprécier la situation, elle m’a dit « imagine que c’est un mec qui te baise et que tu es une bonne petite salope. Donne toi à lui, j’ai envie ».

Andréa mettait tant de douceur, de conviction, de câlins que j’ai fini par entrer dans son délire comme quand elle rentre dans les miens. Et là, elle s’est mise à me raconter des trucs, à me dire qu’elle rêvait de me voir avec un homme ! Qu’elle s’occuperait de tout, qu’elle m’accompagnerait, que .... Cela m’a encore plus perturbé car à ce moment là, je m’éclatais.

.......................

Le sujet de la bisexualité est revenu plusieurs fois dans nos conversations. Elle tenait vraiment à ce que j’ai une expérience avec un homme, quitte à ne pas la reproduire si c’était la catastrophe pour moi. J’ai donc fini par céder à ses arguments. Andréa a passé du temps sur Fessestivites pour trouver un homme pour moi. Nombreux étaient ceux qui voulaient la sauter en disant « oui, oui », pour moi sans être convainquant... La femme oui, son mari...... Au bout d’une semaine de recherche, elle a trouvé un Maître gay qui acceptait le plan. Quand ils se sont téléphonés, j’ai du « aller faire un tour ailleurs » pour qu’ils puissent comploter à leur guise sur mon cas. Pour que je ne m’inquiète pas, Andréa a tenu à garder la date secrète, cela serait sa surprise.

Paradoxalement, pendant cette période, elle est devenue une mante religieuse, quand elle ne me dominait pas, nous faisions l’amour comme des bêtes. L’idée l’excitait, elle m’en parlait souvent. Plusieurs fois, elle m’a mis sous cage de chasteté, plusieurs fois j’ai cru le jour arrivé. Mais non, elle jouait simplement avec mes nerfs et cherchait à m’exciter simplement quand elle ne me prenait pas avec son gode ceinture.

Cela faisait trois jours que j’étais sous cage de chasteté, j’avais des envies de folie à m’en frotter les fesses sur le fauteuil de l’ordinateur en surfant. Andréa s’est habillée comme une Maîtresse, elle a tenu à jouer encore en me disant qu’elle allait me faire jouir autrement. Elle a commencé par me faire un petit lavement afin que je sois propre pour ses doigts et son gode. Elle m’a ensuite chauffé à blanc en me bouffant les testicules. J’étais debout, elle à mes pieds, pendant qu’elle léchait mes précieuses, ses doigts lubrifiés jouaient les spéléologues dans mon fondement. Et là, quand j’ai entendu sonner, j’ai compris que mon heure était arrivée. Elle m’a demandé de me mettre à quatre pattes au bord du lit, puis m’a abandonné le temps d’aller lui ouvrir. Andréa est revenu seule sans tarder, elle s’est allongée sur le lit, s’est couchée sous moi tête bêche. Son visage juste sous le mien, elle m’embrassait, me disait des mots d’amour. En même temps, elle titillait ma cage de chasteté, mes tétons pour m’exciter.

Une main s’est posée sur mon dos. J’ai frémis. Un doigt s’est insinué entre mes fesses puis en moi comme pour tester l’élasticité de mon anus. Et là, quelques secondes plus tard, je l’ai sentie. J’ai senti un gland toquer à la porte du creux de mes reins. Andréa toujours allongée sous moi, m’a dévoré des lèvres. Sa langue jouait le serpent avec la mienne comme pour détourner mes pensés. Lorsqu’il m’a pénétré, j’ai eu un peu mal, Andréa a accentué ses baisers de folie et ses caresses. Le mec que je n’avais toujours pas vu a commencé à faire de petits mouvements en moi. Ce n’était pas désagréable, mais sans plus. Au bout d’un moment, mon anus s’est décontracté et a commencé à apprécier. C’était meilleur que le gode ceinture mais plus gênant. Et puis, sous l’acharnement de ma femme et du mec, tous deux décidés à me faire du bien, je me suis senti mieux, « la chose » n’était pas si mauvaise que ça.

• Je t’aime, tu es trop beau ! M’a dit Andréa

C’est à ce moment là que j’ai commencé à m’envoler et à tendre mes fesses. Elle s’est retirée de dessous moi pour s’asseoir face à moi. Elle me tenait les mains, pas pour m’obliger mais pour m’accompagner. Elle caressait ma tête, ma nuque, mes tétons, c’était divin. Le mec a accéléré ses mouvements dans mes fesses, j’ai fermé les yeux pour savourer les sensations. Andréa s’est approchée de moi en repliant ses jambes qu’elle a croisées. Elle a fait descendre ma tête, puis a guidé mes bras autour de sa taille. Le visage plaqué contre son ventre, accroché à ma femme, me je suis envolé en me faisant casser le cul. Ma cage de chasteté ballottait dans tous les sens sous les coups de butoir. Je n’étais plus qu’un trou, toutes mes pensés étaient focalisées sur mon anus. J’ai perdu la tête et gémis sous ses asseaux jusqu’au final où, profondément en moi, il a joui. Quand il s’est retiré, mon anus a continué de se contracter, j’ai découvert que les hommes pouvaient aussi jouir du cul.

• Un soumis doit remercier la queue qui lui a donné du plaisir, vient me sucer un peu ! A dit l’homme d’une voix ferme.

Ma femme m’a guidé vers lui, il a retiré son préservatif et tendu sa verge. Devant mes hésitations, Andréa m’a poussé en avant, je lui ai fait une fellation comme ils le souhaitaient tous les deux.

• Champagne ! A crié Andréa, nous avons un dépucelage à fêter.

SIX MOIS PLUS TARD

Ma femme, lasse des clubs où finalement c’est toujours un peu pareil, a pris un amant régulier. MasterJ est devenu mon Maître. Je vais parfois seul chez lui, pas f o r c é m e n t quand l’amant de ma femme vient à la maison, cela n’est pas ainsi organisé. Je préfèrerai presque car quand il vient, Andréa est une vraie furie. Quand elle ne me saute pas devant lui, elle me féminise et m’oblige à faire leur larbin. Si je résiste, elle en parle à mon Maître qui n’est pas un tendre. A chaque fois, elle m’oblige à les regarder baiser, à chaque fois elle me fait m’allonger sur le sol pour me faire lécher sa chatte gluante de leurs sécrétions. Des fois m’oblige à la lécher pendant qu’ils boivent une coupe de champagne. Il est loin le temps où c’était moi qui la faisait sauter comme une chienne.

Andréa m’a promis que le soir de mon anniversaire, j’aurai le droit d’être son Maître et de lui faire tout ce que je veux. Oui mais mon anniversaire, ce n’est qu’une fois par an !

Ecrivaillon

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